C’est évident, la hausse du coût des matières premières et l’augmentation des taux d’intérêts fait peser des risques plus importants sur les investisseurs des projets renouvelables. On parle de plus de 2 Gigawatt-heure de capacités solaires et environ 5 Terawatt-heure de capacités de production de biométhane affectés par le contexte.
En 2021, la part des énergies renouvelables (ENR) dans la consommation finale brute d’énergie de la France a atteint 19,3%. Globalement en hausse, même si l’objectif fixé par l’Europe et notamment, la France est plus importante avec un chiffre ambitieux de 33% pour 2030.
Bien entendu, le SER insiste sur l’urgence de la situation et propose une série de mesures pour accélérer le déploiement des Énergies Renouvelables sur le territoire en soulignant que les énergies renouvelables constituent l’un des seuls remparts à court terme pour renforcer notre sécurité d’approvisionnement, surtout dans le contexte actuel.
Selon le ministère de la transition énergétique, la part des ENR dans la consommation finale brute d’énergie a augmenté de 9,3% en 2021, une hausse très significative dans le mix énergétique qui est due au développement de l’éolien (ça se voit dans le paysage), des pompes à chaleur et des biocarburants.
Nb : La biomasse solide reste la 1ère énergie renouvelable, suivi de l’hydraulique et des pompes à chaleur.
Source : opera.media-energie.com