Mardi 19 septembre 2023, la Première ministre Élisabeth Borne a partagé les plans du gouvernement pour investir dans l’énergie, l’environnement et le climat.
En 2024, il y aura 7 milliards d’euros de plus pour aider à changer nos habitudes pour le bien de la planète. Son objectif ? Faire plus en 7 ans qu’en 33 ans pour lutter contre le changement climatique !
Élisabeth Borne a expliqué que cet argent supplémentaire s’ajoute à ce qui est déjà prévu pour protéger l’environnement. On saura plus sur le total de cet investissement le 27 septembre.
Voici comment sera dépensé cet argent :
- 2,3 milliards pour la nature et l’agriculture, dont 500 millions spécifiquement pour protéger les forêts.
- 2,6 milliards pour rénover les bâtiments et rendre nos maisons plus écologiques.
- 1,8 milliard pour créer de l’énergie propre.
- 1,6 milliard pour améliorer les transports et les infrastructures.
- 800 millions pour aider les régions dans la transition écologique.
Ce plan est une partie d’un effort plus grand pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’UE de 55 % d’ici 2030. Élisabeth Borne a déclaré que ce plan est « équilibré », soutenant la technologie et la sobriété.
Cependant, tous ne sont pas convaincus. Certains partis politiques disent que des réunions et des plans ne servent à rien sans actions concrètes. On attend donc plus de mesures dans les prochains jours, et une déclaration du président Emmanuel Macron.
Synthèse : La Première ministre Élisabeth Borne a annoncé un investissement supplémentaire de 7 milliards d’euros en 2024 pour l’énergie, l’environnement et le climat. Cet investissement s’inscrit dans un objectif plus ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Le plan détaillé inclut des fonds pour la nature, la rénovation de bâtiments, les énergies propres, les transports et soutient les régions dans leur transition écologique. Alors que des partis politiques et des groupes écologistes réclament des actions concrètes, d’autres annonces sont attendues, notamment du président Emmanuel Macron.
Source : Euractiv